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À propos de...

"Un blogue à propos de ma maîtrise sur les blogues. Un peu un méta-blogue, donc, même si ça sonne un peu perdant. À date, c'est tout à fait normal qu'il n'y ait pas grand chose ici. Après tout, ce n'est que le tout début de la longue aventure du mémoire de maîtrise, et je ne suis pas certain où ça peut me mener. Une chose est sûre: vous le lirez ici."

Bloguer à mort lundi 20 octobre 2008 |

C'est en ajoutant Pat Dion à mon Google Reader que j'ai relu des bouts que j'avais manqué... comme ce billet-ci


Ça me fout un peu les boules: Michel Vastel, grand journaliste politique devant l'Éternel, a publié son dernier message sur son blogue à quelques heures de sa mort. Littéralement. Publié à 5h36, décès annoncé à 14h30, moins de neuf heures plus tard. 

Mais qu'est-ce qui peut bien pousser quelqu'un à bloguer jusqu'à sa mort? Comment est-ce qu'on dit ça au monde, "j'meurs, j'vous quitte, prenez soin de mes archives"? Est-ce que ça se lègue, un blogue? 

...Est-ce que ça compte comme une oeuvre inachevée?

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Grosse semaine de blogodrama |

D'abord, y'a eu La Grosse Chicane entre (...) et (...), mais j'en parle pas plus parce que j'ai rien à en dire. (...) a fermé son blogue et effacé tout, et (...) a cleané le sien pour en effacer toute trace. C'est beaucoup mieux comme ça, je pense. 


Pis là je viens de voir que le baril de poudre a explosé chez Simon. Une "psy" l'accuse, dans les commentaires, d'être en fait un pédo qui se fait passer pour une victime; d'autres le défendent en disant que c'est vrai-de-vrai; d'autres disent que même si c'est pas vrai c'est pas grave, que c'est de la bonne littérature, fiction ou pas; encore d'autres se mettent à raconter leurs propres histoires d'abus et d'inceste quand ils étaient petits. Du soutien, de la haine, des récriminations, des accusations, de l'engueulage, des *câlin* pis des "fucker". 

Après ça, que personne vienne me dire que le blogue change ardjien à la relation auteur-public. 

I'm sitting back and watching it go, et je suis si-dé-ré. 

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Mon Premier YULBlog lundi 13 octobre 2008 |

Vous allez me dire qu'il était à peu près temps, et vous aurez pas tort... mais maintenant que j'ai commencé ma rédaction officiellement, j'veux dire, maintenant que je sais où je m'en vais et que j'ai quelques pages de faites, ça y est, je me mouille.


Je me rendrai, le 5 novembre prochain, à mon premier YULBlog

Ça risque d'être winner, je pense. J'vais prendre des notes, ça c'est clair. 

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La blogosphère, ces inconnus dimanche 12 octobre 2008 |

À force de lire sur le sujet, j'apprends beaucoup, mais je réalise beaucoup de choses, et je réalise que je savais déjà beaucoup de choses sur le sujet mais que je n'y avais simplement jamais pensé sous cet angle. En voici un exemple, qui va, selon qui vous êtes, soit vous faire dire "ah ben c't'évident", "ah oui, tiens donc, intéressant" ou bien "non mais on s'en contrefout". 


Si vous êtes mon directeur, j'espère que ce sera ça la deuxième option, et si c'est la troisième, ne vous inquiétez pas, je ne vous en voudrai pas une miette. 

La blogosphère (puis qu'il faut la nommer ainsi - je déteste ce mot) est ce que l'on appelle en Anglais un Scale-free network, c'est-à-dire qu'il y a, tout en haut, quelques blogueurs "influents" ou "connus" vers qui, tôt ou tard, tout le monde finit par envoyer un lien. Ce qui est intéressant, c'est qu'on retrouve la même distribution dans plusieurs autres contextes: les citations dans des publications savantes, par exemple, font beaucoup plus souvent référence à quelques articles "fondateurs" qu'à la majorité des autres. L'internet est comme ça, aussi. 

Mais que les réseaux sociaux (comme la blogosphère, Facebook ou même la population d'une association étudiante) reviennent toujours à ce modèle, c'est là que ça devient franchement fascinant. Parce que, qu'on le veuille ou non, ça donne une structure pseudohiérarchique à quelque chose qui semble, au premier abord, totalement informe. Mais, pensons-y. Si, quand on commence une première année en littérature à l'Université de Montréal, on se fait des amis tranquillement et on finit par rencontrer les dix ou quinze personnes qui composent l'exécutif de l'asso étudiante, on se dit que c'est normal; quand on commence à lire un blogue au hasard, si on gravit tranquillement les échelons, on finit toujours par remonter à Mistral, Pierre-Léon, ou au moins foqué qui dessine. Et on se dit "ah, tiens, lui aussi il connaît ça". 

Ben oui. C'est de même que ça marche. 

Faudra arrêter de voir la blogosphère pour autre chose que ce qu'elle est: une communauté. 

Lousse.

Mais une communauté quand même. 

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